En 1818, un voyageur palois parvenu au Tibet apporta dans son havresac une édition des contes de Charles Perrault. Très impressionnés par la lecture qu'il leur en fit, les jeunes moines de Kumbum se prirent d'amitiés pour lui, et par-delà sa personne, pour la fiction francophone.
Il en résulta ce dicton fameux, rapporté du plus haut pays du monde jusqu'à nous : les bons contes font les bonzes amis. Amis de la francophonie et des poissons d'avril, bien entendu.
Il en résulta ce dicton fameux, rapporté du plus haut pays du monde jusqu'à nous : les bons contes font les bonzes amis. Amis de la francophonie et des poissons d'avril, bien entendu.
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